« À mon sens, les improvisations libres au piano n'étaient pas toutes intéressantes du début à la fin, alors que The Köln Concert devint un classique. On juge cette impro telle une oeuvre à part entière, répond-il. J'ai d'ailleurs le sentiment que plusieurs figures pianistiques de cette exécution en préconisent la dernière partie, comme si Jarrett cherchait l'issue d'une pièce en en explorant plusieurs variations avant d'en trouver la forme finale. En tout cas, ça s'écoute très bien du début à la fin. C'est sensible, c'est aussi groovy. »
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