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flexibilité cognitive et improvisation


Au printemps dernier Norgaard s’est associé à Mukesh Dhamala, professeur agrégé de physique et d’astronomie, et a demandé à des musiciens de jazz avancés de produire de la musique apprise et improvisée tout en subissant une imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf), un scanner qui mesure l’activité du cerveau en temps réel.

Lors de leur étude, les chercheurs ont découvert une diminution de la connectivité cérébrale au cours de l’improvisation. Norgaard affirme que cette conclusion n’est pas aussi surprenante que nous pourrions le penser… « Cette idée de ‘flow’, de flux – où vous êtes complètement immergé dans une activité – a été liée à la désactivation de certaines zones du cerveau », explique-t-il donc. « Il se peut que l’exécution d’improvisation engage un réseau cérébral plus petit et plus concentré, tandis que d’autres parties du cerveau se taisent

Dans une autre étude, une formation d'élèves à l'improvisation a conduit à une amélioration significative de la flexibilité cognitive ( lire l'article de la recherche en Anglais)

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